Ils étaient présents pour ce grand moment

René Troccaz

Alain Rémy, ancien ambassadeur et consul général de France à Jérusalem (2005-2009), président de l’Association des Amis de l’Ébaf :
“L’Ébaf à paris c’est un événement rare. Exceptionnel. L’idée de cette rencontre est de mettre en avant les travaux novateurs en matière d’exégèse biblique qui sont faits à l’école et les partager avec un public plus large. Il s’agit de la vocation de l’association des Amis de l’École biblique. J’aurais aimé rendre hommage au père Jean-Jacques qui n’a pas pu se joindre à nous aujourd’hui et je salue son action pendant 8 ans à la tête de l’école. Je remercie aussi le collège qui nous accueille aujourd’hui avec enthousiasme et une grande générosité.

René Troccaz, ancien consul général de France à Jérusalem (2019-2023) :
“Il était impossible pour moi de ne pas venir profiter de cette belle journée entouré de mes amis de Jérusalem. J’ai beaucoup de joie de retrouver mon ami Alain Rémy qui fut mon ‘N+1’ jusqu’en 2009 et évidement un grand ami. Je tenais également à montrer mon grand attachement à Jérusalem et l’école biblique ainsi qu’à tout ce que les frères s’emploient à faire.”

Olivier Munnich et Pierre Assouline

Pierre Assouline, de l’académie Goncourt :
“À l’invitation d’Olivier-Thomas Venard mon ami, je suis très proche de l’École biblique qui m’a accueilli. Le principe d’un débat sur la traduction ne pouvait que m’intéresser. J’ai écrit sur la condition du traducteur en France. Je suis passionné par ces questions. J’ai suggéré la présence d’Olivier Munich et je suis ravi de ce débat très dense et riche. Cela ouvre des perspectives nombreuses.”

Père Jacques Ollier, docteur en théologie, enseignant à l’École cathédrale des Bernardins et à la faculté Notre-Dame de Paris :
“Si la Bible n’entre pas dans les arts, dans la culture et toutes les cultures, elle risque bien de rester enfermée dans les bibliothèques.”

Luc Peeters, éditeur de l’Ébaf :
“Nous tenions à notre présence aujourd’hui pour supporter l’école biblique et continuer ensemble l’œuvre de transmettre.”

Mitchka Shahryari, boursière de l’Académie de l’Inscription et des Belles Lettres en archéologie (2022-2023) :
“Je suis venue pour garder contact et suivre l’École, ses projets et les devenirs de chacun. L’Ébaf est pour moi un institut qui a permis d’encadrer, de soutenir, de faire avancer mes projets, mes perspectives personnelles et mon travail dans un espace emprunt de spiritualité, avec une diversité de profils, prêt à l’échange et à la réflexion. J’ai créé un lien émotionnel avec beaucoup de membres de l’École. Ce sont des liens qui perdureront je l’espère.”

Les éditions Peeters et Mitchka Shahryari

Thomas Costrel, rédacteur en chef de PRIXM :
“Nous tâchons de montrer toute l’ampleur de la réception des Écritures à notre époque. Nous ne sommes pas savants ni chercheurs. À ce compte, nous sommes adossés au programme de la best. On essaie d’éclaire les écritures au grand public.”

Patrick Leclerc, ancien ambassadeur en Jordanie :
“J’étais en Jordanie lors des fouilles de Jean-Baptiste Humbert, op, et Jean-Michel de Tarragon, op. Nous avons beaucoup travaillé ensemble. C’était évidement naturel de m’engager dans l’association des amis de l’École biblique pour valoriser et aider au bon développement de leurs travaux.”

Équipe PRIXM (Thomas Costrel, Léo Derumaux, Nicolas Chatain), Patrick Leclerc